MAS, et l'Escaut vue du ciel, © Agéa

MAS, Museum Aan de Stroom

MAS, © Sarah Blee

MAS, © Filip Dujardin

MAS, © Filip Dujardin

MAS, © Filip Dujardin

MAS, vue sur l'Escaut © Agéa

MAS, installation de Georges Tamihana Nuku artiste Maori © Agéa

MAS, installation de Georges Tamihana Nuku artiste Maori © Agéa

MAS, Computing © Agéa

MAS, Eric Deville © Agéa

MAS, Scénographie salle Port mondial © Agéa

MAS, Jan Fabre © Agéa

MAS, Nicolas Van Hout © Agéa

MAS, Jan van Eyck, Madone à la fontaine

MAS, Kunstkamer, Frans Franken KMSKA

MAS, Peter Paul Rubens, Venus Frigida KMSKA

MAS, Scénographie Machtsvertoon © Agéa

MAS, Scénographie Leven & Dood © Agéa

MAS, Scénographie Leven & Dood © Jeroen Verrecht

MAS, Scénographie Leven & Dood © Jeroen Verrecht

MAS, Scénographie Machtsvertoon © Jeroen Verrecht

MAS, Scénographie Wereldhaven © Jeroen Verrecht

MAS, Scénographie Wereldstad © Jeroen Verrecht

Le Musée a ouvert ses portes le 17 mai 2011.
En avant-première…
Cet espace dédié aux cultures du monde reflète la position historique de la ville portuaire, lieu de départ, de métissage et de brassage de populations. Dédié à «l'histoire de la ville, du fleuve, du port et du monde, le MAS s'intéresse plus particulièrement à la diversité et aux échanges interculturels d'hier et d'aujourd'hui.
Le cube de 60 m de haut, alternance de briques rouges et de verre, de lignes géométriques et longues vagues verticales semble émerger de l'eau.
La circulation périphérique des escaliers permet une découverte de la ville, MAS est une sentinelle, une «tour d'observation et d'orientation pour la ville» et peut en cela évoquer la structure de Beaubourg.

La particularité du Musée est de privilégier des mises en scènes sollicitant les sens, par une scénographie engagée et une ingénierie muséale laissant la place à tous les média. Grande présence des sons (de la musique de Popoh Vuh à des sons chamaniques), des vidéos, (des miniatures de quelques centimètres aux écrans panoramiques), des objets réels aux phantasmés, (évocation de l'univers de Tintin), labyrinthe noir qui mène à une salle de lumières, cohabitation des époques et des styles (Panamarenko côtoie Van Eyck)

Pari réussi de métissage et d'ouverture…
A noter l'excellente visite guidée que nous a offerte l'historien d'art Nicolas Van Hout, (Chapeau monsieur Van Hout comme dirait Patrick Le Fur) grand connaisseur de Rubens, spécialiste de la Conservation et conservateur au Koninklijk Museum.