Pierre Cordier † (Brüssel, 28.01.1933 – 19.03.2024, Brüssel)
Ein persönlicher Nachruf
Seine Chemigrammne begegneten mir zuerst in Brügge in einer Gruppenausstellung mit dem nichtssagenden Titel FOTO‘ 65. Doch stach Pierres Beitrag als radikale Demonstration von latent im Fotoprozess verborgenen generativen Potenzialen hervor. Eine Vision. Nicht fotografische, fotogene Bilder traten in ihre Erscheinung. Und so markieren seine acht in Brügge gezeigten Arbeiten den Beginn unserer lebenslangen Freundschaft. 1968 nahm Pierre neben Hein Gravenhorst, Kilian Breier und mir an der Bielefelder Ausstellung Generative Fotografie teil. Heute sind Name und Werk Pierre Cordiers untrennbar
mit dem eingangs genannten Begriff verbunden. Er begründete ihn als eigene Bildgattung, künstlerisch, begrifflich, rechtlich – auch gegen Widerstände! Die Bestätigung dessen findet sich in seinem letzten großen Buch, "le chemigramme/the chemigram", Brüssel, 2007, vorgestellt in PHOTONEWS 6/2008.
Un hommage personnel
Ma première rencontre avec Pierre Cordier et ses chimigrammes a eu lieu à Bruges, lors d'une exposition de groupe intitulée FOTO' 65. La contribution de Pierre s'est distinguée comme une démonstration radicale des potentiels créatifs latents du processus photographique. Une vision. Des images non photographiques, photogéniques, sont apparues. Et c'est ainsi que ses huit œuvres présentées à Bruges marquent le début de notre amitié de toujours. En 1968, Pierre a participé à l'exposition "Generative Fotografie" à Bielefeld aux côtés de Hein Gravenhorst, Kilian Breier et moi-même. Aujourd'hui, le nom et l'œuvre de Pierre Cordier sont indissociables de ce concept.
Il l'a justifié comme un genre d'image à part entière, artistiquement, conceptuellement, légitime - malgré certaines résistances ! Son dernier grand livre, "le chimigramme/the chemigram", Bruxelles, 2007, présenté dans PHOTONEWS 6/2008, en est la preuve.
Gottfried Jäger, 1067 Zeichen, incl. Leerz
Ein persönlicher Nachruf
Seine Chemigrammne begegneten mir zuerst in Brügge in einer Gruppenausstellung mit dem nichtssagenden Titel FOTO‘ 65. Doch stach Pierres Beitrag als radikale Demonstration von latent im Fotoprozess verborgenen generativen Potenzialen hervor. Eine Vision. Nicht fotografische, fotogene Bilder traten in ihre Erscheinung. Und so markieren seine acht in Brügge gezeigten Arbeiten den Beginn unserer lebenslangen Freundschaft. 1968 nahm Pierre neben Hein Gravenhorst, Kilian Breier und mir an der Bielefelder Ausstellung Generative Fotografie teil. Heute sind Name und Werk Pierre Cordiers untrennbar
mit dem eingangs genannten Begriff verbunden. Er begründete ihn als eigene Bildgattung, künstlerisch, begrifflich, rechtlich – auch gegen Widerstände! Die Bestätigung dessen findet sich in seinem letzten großen Buch, "le chemigramme/the chemigram", Brüssel, 2007, vorgestellt in PHOTONEWS 6/2008.
Un hommage personnel
Ma première rencontre avec Pierre Cordier et ses chimigrammes a eu lieu à Bruges, lors d'une exposition de groupe intitulée FOTO' 65. La contribution de Pierre s'est distinguée comme une démonstration radicale des potentiels créatifs latents du processus photographique. Une vision. Des images non photographiques, photogéniques, sont apparues. Et c'est ainsi que ses huit œuvres présentées à Bruges marquent le début de notre amitié de toujours. En 1968, Pierre a participé à l'exposition "Generative Fotografie" à Bielefeld aux côtés de Hein Gravenhorst, Kilian Breier et moi-même. Aujourd'hui, le nom et l'œuvre de Pierre Cordier sont indissociables de ce concept.
Il l'a justifié comme un genre d'image à part entière, artistiquement, conceptuellement, légitime - malgré certaines résistances ! Son dernier grand livre, "le chimigramme/the chemigram", Bruxelles, 2007, présenté dans PHOTONEWS 6/2008, en est la preuve.
Gottfried Jäger, 1067 Zeichen, incl. Leerz
Pierre Cordier (l.) und Gottfried Jäger, Foto Ursel Jäger, 1968